[Tératologie] Un soit disant cadavre de Nessie s'échoue sur une plage (juillet 2016)

maniak a écrit:Toutes les preuves matérielles concernant bigfoot sont aisément falsifiables et toutes les analyses ont régulièrement démontré les fakes aux poils/adn/empreintes etc.

Ah bon ? Le film de Patterson, j'attends qu'on reproduise ce qu'on y voit de façon aussi convaincante avec les moyens de l'époque, ou qu'on produise un faux, dont on garderait la preuve de la fabrication, qui aurait le même retentissement. Idem les dermatoglyphes (voir les analyses de Jimmy Chilcutt), des pistes comme celle de Bossburg en 1969, et cetera. Pour l'ADN, il y a les analyses de Bryan Sykes. Il y a des témoignages datant de plusieurs siècles. Ils auraient été inspirés par quoi ?

Et une analyse ou expertise n'est jamais qu'un témoignage d'analyste ou d'expert, à mettre a priori au même niveau qu'un témoin visuel, ni plus ni moins. Je répète qu'il y a des enjeux émotionnels, religieux, éthiques, philosophiques, légaux, extrêmement lourds. Et quand on a commencé à nier en bloc on ne peut que continuer.

Enfin, on sait qu'ils ont existé et on ne sait pas expliquer leur disparition si c'est au sens cesser d'exister.

JR a écrit:Enfin, on sait qu'ils ont existé et on ne sait pas expliquer leur disparition si c'est au sens cesser d'exister.

Peux-tu expliquer.

Tout débat fécond doit aboutir sur du concret sinon il est stérile et renforce les convictions de chacune des parties. Donc, je pose à nouveau mes questions :

"Nous ne trouvons pas bigfoot, non pas parce qu'il n'existe pas mais plutôt parce qu'il y a un blocage. Une fois cette hypothèse posée on va pas rester jusqu'à la nuit des temps dans cette posture. Que devons nous faire pour avancer ? Continuer la même approche, se nourrir des mêmes faits, de la même prose, des mêmes certitudes ?
Quels sont les remèdes pratiques au dit blocage invoqué ?"

Armand Le Biar a écrit:"Nous ne trouvons pas bigfoot, non pas parce qu'il n'existe pas mais plutôt parce qu'il y a un blocage. Une fois cette hypothèse posée on va pas rester jusqu'à la nuit des temps dans cette posture.

Et pourquoi pas ? Le déclic, s'il arrive, ne viendra pas de nous.