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    [Paléoanthropologie] Homo Naledi et la métaphore du courant d'eau

    3 participants

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    [Paléoanthropologie] Homo Naledi et la métaphore du courant d'eau Empty [Paléoanthropologie] Homo Naledi et la métaphore du courant d'eau

    Message  waterreedshimmer Lun 17 Juil - 0:14

    L’émission de télévision l’Aube de l’Humanité sur Arte (15 juillet 2017 de 20h50 à 22h35) nous parle de certaines découvertes d’hominidés à la base du genre homo ou à l’origine de l’homme.

    [Paléoanthropologie] Homo Naledi et la métaphore du courant d'eau Homo_n10

    Même si il y a très peu de fossiles pour raconter nos origines, l’évolution vers l’état physionomique actuel est loin d’être linéaire car il y a des flux et reflux de gènes, puisque des australopithèques comme Sediba ont vécu au même temps que les premiers squelettes du genre homo (homo habilis, etc.), et le métissage entre plusieurs lignées, plusieurs états évolutifs, n’est peut-être pas impossible. Du coup s’il y a une source de l’hominisation en Afrique, la généalogie n’est pas un arbre, mais un cours d’eau avec des bras qui se rejoignent ici et là et où à la fin toutes les rivières se rejoignent dans un lac au fond d’une vallée, celle de l’époque actuelle. Et il est impossible pour les chercheurs de dire lequel de ces bras (du cours d’eau) a le plus contribué à notre  genre d’homo sapiens.
     Les premiers australopithèques avaient un régime alimentaire semblable à celui des chimpanzés : herbes, écorces, fruits d’après l’analyse du tartre des dents (présence de phytolites) et étaient encore des victimes des prédateurs (félins, ours, canidés) vivant toujours un peu à l’abri dans des forêts tropicales, sur les arbre, et loin de pouvoir s’imaginer un jour qu’ils pourraient dominer le territoire.
    Malgré cela, certain des premiers hommes du genre homo dont Homo Naledi (fouillé sous la direction de Lee Berger) présentaient des comportements des centaines de milliers d’années en avance sur leur époque pour leur espèce, qui relèvent peut-être du concept de cimetière. Sur le site de Rising Star en Afrique, des restes osseux de nombreux individus de plusieurs âges ont été trouvés, non mélangés à des fossiles animaux et non associés à des outils en pierre.
    Alors que l’Homo Naledi se situe à mi-chemin entre les australopithèques avec son petit cerveau à peine plus grand que celui d’un chimpanzé (450-550cm cube) et avec sa mâchoire plus rétrécie donc plus humaine que le genre australopithèque, et l’Homo habilis, avec sa mandibule qui est trop arrondie donc moins humaine que l’Homo habilis. Le site de fouilles est resté intrigant par le nombre d’individus trouvés ensemble, même si tout n’a pas été fouillé et à été légué à l’avenir de l’humanité.

    Commentaire personnel d’une intéressée sans profil en sciences :

    Il y a plus de jours, il y a eu une autre émission à la télévision sur l’intelligence animale où on nous a parlé de mémoire (j’ai une mémoire écrite et non visuelle, j’ai dû avoir pris des notes quelque part) de plusieurs animaux :

    1- d’un grand singe qui faisait la conversation avec sa maîtresse humaine et ses autres soigneurs à l’aide d’un album d’idéogrammes et dont le fils s’est vite aussi intéressé à acquérir la capacité cognitive de sa mère pour pouvoir parler aux humains et à elle en indiquant les idéogrammes sur un album

    2- des petits rongeurs allongés vivant dans le désert dont le cri d’alerte désigne par modulation le type de prédateur, s’il s’agit d’un loup ou d’un raton laveur, d’où le réseau social qui sait décoder le message adopte un comportement de prévention en fonction de la modulation du cri d’alerte, se cacher sous terre, ou se tenir debout pour impressionner par le nombre

    3- d’un perroquet gris qui avait appris à résoudre des problèmes, de niveau maternelle pour les humains, du genre quelle est la plus grande des clés et il répond par la couleur ou la matière, combien de cubes bleus il y a, etc.

    4- d’un chien qui avait appris à reconnaître le nom de plus de 1024 jouets et qui peut, en prenant beaucoup de temps, déduire le nom d’un nouveau jouet dont il n’a pas encore appris le nom si celui-ci est pari des jouets dont il connaît le nom

    5- et enfin, et c’est ce qui nous intéresse, du fait que la vision des chimpanzés est plus performante pour une particularité que celle des humains, le contact visuel est bien plus rapide de beaucoup de millisecondes que celui des humains, parce que le chimpanzé peut voir et mémoriser l’emplacement d’une dizaine de chiffres qui apparaissent et disparaissent sur un écran plus vite que le temps dont l’œil humain a besoin pour détecter que quelque chose est apparu et a disparu de l’écran, un monde où les images subliminales ne sont pas subliminales, où le nombre d’images par seconde est décomposable à l’œil, alors que l’Homo sapiens sapiens a besoin de plus de temps pour discerner la présence d’une image et de beaucoup plus de temps pour mémoriser l’emplacement de 10 chiffres différents sur l’écran et cliquer dessus dans le bon ordre, et j’ai appris à l’école que notre mémoire visuelle à court terme concerne plutôt 5 éléments, 10 c’est beaucoup. Donc à mon avis ce qui peut ressembler à un QI plus élevé que l’homme est en réalité une faculté différente, une spécialisation hémisphérique différente, voir des cellules spécialisées d’un type différent ou en plus grand nombre.

    Nous sommes à une époque où le comportement animal et végétal a été en parti décodé et retranscrit comparativement aux capacités humaines cependant tout ce qui relève des mœurs est subjectif et prend un sens et une interprétation totalement différente en fonction du siècle et du vécu de chacun. Il n’y a que la partiel référentielle de la communication animale qui à mon avis peut être à la fois décodée et comprise par les Homo sapiens sapiens.

    D'où même si je ne sais pas quand ça viendra, ni si c’est déjà venu, mais les capacités cognitives des hommes préhistoriques ne dépendent pas de la taille de leur cerveau, mais du nombre de cellules consacré à une tâche et de leur spécialisation, voir peut-être de leur type. Ce pourquoi le chimpanzé n’a pas les mêmes caractéristiques visuelles que l’Homo sapiens sapiens et peut voir et mémoriser beaucoup plus vite ce qui se passe et plus d’éléments. Du reste je n’en sais rien car je n’ai pas eu l’honneur de regarder beaucoup d’émissions sur la psychologie des primates, mais j’espère qu’on ne cherche pas à les dévaloriser ni à les classer parce que ce n’est pas le même cerveau, même si on met la même réalité, en-dehors de la personnalité. Les sens, l’aspect sensoriel, l’ouïe, le toucher, le goût, l’odorat la vue, ainsi que d’autres qualités sensorielles ainsi que les qualités motrices ne sont pas constituées pareilles, ne sont pas définissables pareilles, n’ont pas les mêmes paramètres de réglage par défaut chez deux genres différents, chez deux genres différents, et peut-être même chez deux espèces différentes même si elles ont une ressemblance anatomique.

    D'où lors de l’évolution c’est certes la vie dans un certain environnement avec de certaines manies qui a façonné, le squelette, les os, l’évolution de l’anatomie des hominidés, des australopithèques au genre homo. Mais les parties molles évoluent en fonction d’autres critères que les parties dures, à mon avis.
    Je ne crois pas que l’homme préhistorique soit sourd-muet, soit il avait son langage articulé différent du notre, soit il était télépathe, soit il était ventriloque, soit soit il employait la langue des signes, soit il avait une langue sifflante, soit il avait une langue chantante, mais en tout cas il communiquait par des signes. Cependant une compétence cognitive ne peut pas être considérée comme primitive, et des tests psychologiques sur l’homme et sur le singe, on ne peut pas déduire un classement, une évolution de l’inné et des compétences, puisque :

    1- la substance même de l’intelligence n’est pas constituée de la même matière, n’a pas les mêmes propriétés mises en avant en fonction de l’espèce étudiée. L’évolution ne peut pas s’appliquer à une composante molle, malléable, paramétrable, avec des caractéristiques, décomposable, adaptable, dont la qualité varie avec l’apprentissage et le type de pièces, les spécialisations cellulaires, et une densité différente en réseaux nerveux.
    De plus le langage animal, comme on l’a vu précédemment à la télévision, le cri d’alerte d’un oiseau ou d’un petit être du désert ne peut pas être considéré comme primitif parce qu’en outre

    2- il porte en lui un renseignement décodable par le groupe, donc il est le vaisseau et pas l’équipage

    3- pour beaucoup d’animaux d’espèces différentes les choses ont un nom qui s’apprend, donc il sous-entend une réalité, ses conséquences existentielles et son intérêt communicatif, dire c’est poser un regard sur le monde, c’est réfléchir, c’est plus que dénommer

    4- le nom des choses se transmet de maître à élève, même si le maître est un humain, parce que toutes les espèces rivales ne sont pas capables de décoder les mêmes mots que nous, et que le réseau social sur lequel on peut compter pour nous aider à vivre ou à survivre connaît les mêmes mots que nous, mais pas les autres occupants du même territoire, donc l’intérêt communicatif du mot est de comprendre l’organisation sociale, de réserver sa place dans une société pré-existante, de continuer l’histoire même si on est loin de la capacité du récit narratif, mais on s’insère tout de même comme acteur dans une réalité partagée.

    5- La dénomination et la référence, modulation sonore et la syntaxe ne sont pas un outil de mesure pour comparer les capacités cognitive des espèces, mais seulement la conséquence de l’intérêt communicatif, du parti qu’on peut en tirer si on est capable d’appartenir à un groupe d’individus connus et inconnus, à un foyer et à une foule, à un réseau social et à une organisation sociale, les mots façonnent la perception du monde de manière différente que l’usage façonne les os, ils orientent des considérations de statut et des comportements en fonction du contenu du message, ils poussent l’évolution cognitive dans le sens des priorités des besoins sociaux propres à chaque espèce, ils font le cerveau changer de caractéristiques plus vite que le squelette, même si la structure osseuse oriente une fonctionnalité, une sensibilité tactile, une perception du corps, la vision des os du corps sur le monde. Et que comme dans Imprimer le Monde (Lovegrove +-) il n’y a pas que l’aspect évolutif qui caractérise le squelette, la structure divine imprimée, il n’y a pas que le squelette qui subit, il y a aussi le squelette poreux qui perçoit parce qu’il propose une certaine organisation des muscles, l’économie est un échange, une interaction dans les deux sens. Donc l’activité cognitive des parties molles complète le champ sensoriel interprétatif lié à la forme des parties dures.

    6- Mais on ne sait rien en ce qui concerne la tolérance et l’apprentissage d’une deuxième langue, d’un deuxième système de signes, de 2 mots pour une même réalité par 2 maîtres appartenant à deux réseaux sociaux dont les bénéfices diffèrent, qu’ils soient amis ou rivaux. Certes l’évolution cognitive dépend des groupes d’hominidés qui étaient en mesure de constituer un réseau social sur lequel on peut compter, et même si la faculté de langage soulève des problèmes d’articulation chez l’homme préhistorique, il en va que sa présence dépend plus de facteurs politiques, d’organisation sociale, et de défense du territoire, que de capacités motrices. Et c’est pour des raisons géo-politiques que les descendants de tout ces hominidés, et peut-être même tous les hominidés, l’ont adopté et ensuite ont évolué pour mieux le maîtriser organiquement.

    Après deux mots sur le Yeti et l’Homo luminae. Si l’évolution n’est pas linéaire, ce n’est pas impossible que certains caractères morphologiques humains peuvent transformer par des mutations génétiques certains grands singes d’une lignée d’australopithèques résiduels en hominidés tardifs du début de la chaîne évolutive avec les longs bras de singe, mais une colonne vertébrale et une capacité cérébrale améliorée.
    Moi je refuse de laisser le tapis rouge aux neurones, je ne pense pas que ce soit réellement vrai que la vie cognitive commence avec le système nerveux, car attribuer une vie cognitive à un être-vivant est subjectif, et certains être-vivants comme les ciliés et les flagellés peuvent se mouvoir, prendre des décisions sur vers où aller et s’informer de la présence d’un milieu plus nutritif. L’information en ce sens est néanmoins trop difficile à dénicher pour un particulier. Mais les êtres mono-cellulaires, également dit, unicellulaires, ont une intelligence mécanique, qui se met en place par l’usage de tout leur corps, alors que les tissus cellulaires, comme le tissus nerveux ou comme la peau, ainsi que les molécules osseuses, ont une intelligence comparable au digital, au dématérialisé, ils pensent par message et pas par action. L’information en ce sens est également difficile à trouver, un peu moins pour le côté nerveux, mais on ne sait jamais si l’intelligence osseuse et l’intelligence dermique pourrait un jour intéresser un chercheur, car la nature des messages codés osseux et dermatologiques n’a que intéressé certaines tribus d’hommes préhistoriques.
    Le système nerveux n’est donc pas à l’origine de la conscience, du savoir, du choix, de la pensée et de la cognition, mais il a permit à la conscience, à la compétence, au choix et à la pensée de se développer à l’image de la vie terrestre. Et si tout est société dans une société, ensemble dans un ensemble, au niveau moléculaire c’est à mon avis l’énergie cinétique combinée au champ gravitationnel bipolaire l’origine, la brique première de l’apparition conjointe de la vie et de la cognition mécanique unicellulaire. D'où si le champ gravitationnel sur Terre est un jour devenu unipolaire comme sur Mars, alors les molécules n’auront pas la même structure, et permettent comme chez certains poissons, à l’électricité, à la lumière de devenir organique, de s’imbriquer dans le vivant et d’altérer la composition minérale des sols. On ne sait pas si la Terre a vu des Homo luminae, mais vu le poids de la religion, si Neptune était un Yéti alors Apollon était un Homo luminae. Peut-être un jour un chapitre sur cette idée nouvellement inventée dans mon imagination profonde ?
    Je le relirai demain, mais je pense qu’il est bien cet article sur une émission télévisée et ce point de vu personnel sur l’évolution des hominidés. Merci beaucoup !

    waterreedshimmer
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    Message  Philippe Mind Lun 17 Juil - 21:58

    waterreedshimmer a écrit:Même si il y a très peu de fossiles pour raconter nos origines, l’évolution vers l’état physionomique actuel est loin d’être linéaire car il y a des flux et reflux de gènes, puisque des australopithèques comme Sediba ont vécu au même temps que les premiers squelettes du genre homo (homo habilis, etc.), et le métissage entre plusieurs lignées, plusieurs états évolutifs, n’est peut-être pas impossible.
    Oui c'est possible. D'ailleurs, c'est prouvé que quasi tous les homo sapiens ont 1 à 4 % de Neandertal en eux.

    Voir : Neandertal est en nous

    Je poursuis ma lecture demain chère Françoise.

    Nous parlions déjà de Naledi ici, pour les curieux
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    Message  maniak Mar 18 Juil - 23:01

    Salut, Water, pour une fois je te suis de bout en bout.

    L’intelligence ne se mesurent plus en quantité de neurones, j'ai vu la plupart des documentaires dont tu parles et quelques uns qui vont encore plus loin, le gris du gabon a pris en compte les multiplications quand un autre a été formé au même apprentissage que le sien, certains arbres communiquent, les corbeaux fabriquent des outils ou utilisent les feux de circulation, les fourmis font la guerre de la même façon que nous.

    Quand a notre évolution l'Ardipithèque démontre que tout ce que croyions il y a encore peu de temps est faux et qu'il faut bien plus qu'un rift pour passer d'une souris a nous en 60 millions d'années.

    Si il est assez aisé aujourd'hui de retracer l'hérédité et l'échange des gènes, ça l'est bien moins avec une idée.
    maniak
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