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La faim et la soif de vivre.
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La faim et la soif de vivre.
Bonsoir,
j'ai un peu honte d'avoir utilisé un tel titre, qui n'est pas vraiment adapté à ce que je vais vous décrire.
Nous n'avons pas de section vécu, donc je poste ici, mais Phil peut déplacer ce sujet ou bon lui semble.
Je n'ai pas de talent de conteur, donc je vous livre les événements un peu comme ils viennent.
Nous sommes le vendredi 19 octobre 2001, et je me trouve dans le massif du Vercors afin de faire faire une promenade de quelques jours seul dans les bois.
J'ai pris soin de prévenir mes proches de mon itinéraire, et de plus j'avise la gendarmerie de ce que devrait-être mon parcours.
Je pars donc à travers bois, et pentes.
Tout se déroule très bien, il est treize heures, c'est l'heure de la pause déjeuner, (bien que je n'ai jamais compris cette expression, car chez moi le déjeuner c'est a 5h du matin, après on mange, mais bon peu importe).
Après ce repas, et quelques photos avec un appareil jetable, je reprend ma route.
Je possède un sac double, c'est a dire, deux sacs de 25 L reliés entre eux par des clips, cela me gêne car je m'accroche aux branches du fait de la largeur des sacs.
Je décide donc de d'éclipser les sacs et d'en mettre un en ventral (le plus léger) et l'autre en dorsal (le plus lourd, donc la bouffe, l'eau, et un peu de matos), et sur ce je fais pas mal de chemin, et me prend une pelle digne de vidéogag.
Je glisse sur quelques mètres et perd mon sac dorsal (celui ou il y a la bouffe quoi), ce sac glisse , glisse et glisse encore.
En soit rien de grave je dois faire demi-tour, et tout refaire, et c'est là que l'idée de génie me vient, Et ben non , je continue sans ce sac de merde, et c'est là ou tout commence, mais s’arrête pour ce soir car mon manger m'attend et j'ai déjà donné dans la diète, comme vous pourrez le constater par la suite.
j'ai un peu honte d'avoir utilisé un tel titre, qui n'est pas vraiment adapté à ce que je vais vous décrire.
Nous n'avons pas de section vécu, donc je poste ici, mais Phil peut déplacer ce sujet ou bon lui semble.
Je n'ai pas de talent de conteur, donc je vous livre les événements un peu comme ils viennent.
Nous sommes le vendredi 19 octobre 2001, et je me trouve dans le massif du Vercors afin de faire faire une promenade de quelques jours seul dans les bois.
J'ai pris soin de prévenir mes proches de mon itinéraire, et de plus j'avise la gendarmerie de ce que devrait-être mon parcours.
Je pars donc à travers bois, et pentes.
Tout se déroule très bien, il est treize heures, c'est l'heure de la pause déjeuner, (bien que je n'ai jamais compris cette expression, car chez moi le déjeuner c'est a 5h du matin, après on mange, mais bon peu importe).
Après ce repas, et quelques photos avec un appareil jetable, je reprend ma route.
Je possède un sac double, c'est a dire, deux sacs de 25 L reliés entre eux par des clips, cela me gêne car je m'accroche aux branches du fait de la largeur des sacs.
Je décide donc de d'éclipser les sacs et d'en mettre un en ventral (le plus léger) et l'autre en dorsal (le plus lourd, donc la bouffe, l'eau, et un peu de matos), et sur ce je fais pas mal de chemin, et me prend une pelle digne de vidéogag.
Je glisse sur quelques mètres et perd mon sac dorsal (celui ou il y a la bouffe quoi), ce sac glisse , glisse et glisse encore.
En soit rien de grave je dois faire demi-tour, et tout refaire, et c'est là que l'idée de génie me vient, Et ben non , je continue sans ce sac de merde, et c'est là ou tout commence, mais s’arrête pour ce soir car mon manger m'attend et j'ai déjà donné dans la diète, comme vous pourrez le constater par la suite.
Dernière édition par herveteam le Lun 30 Jan - 23:59, édité 1 fois
herveteam- Indispensable
- Messages : 916
Date d'inscription : 07/07/2010
Age : 51
Localisation : roanne
Re: La faim et la soif de vivre.
Intéressant une petite aventure d'Hervé on voit donc suivre cela, un petit roman sympathique.
En fait on dit petit déjeuner pour le matin même si personne le dit
Question ça signifie quoi "se prendre une pelle", c'est faire une chute ?
En fait on dit petit déjeuner pour le matin même si personne le dit
Question ça signifie quoi "se prendre une pelle", c'est faire une chute ?
Re: La faim et la soif de vivre.
J'attends la suite avec impatience Hervé. Et oui Philippe, prendre une pelle c'est bien faire une chute.
Ogami Itto- Explorateur
- Messages : 75
Date d'inscription : 26/09/2011
Re: La faim et la soif de vivre.
La suite est simple, du moins dans mes souvenirs.
Je me mets à la recherche de mon sac de bouffe et ne le trouve pas.
Bon ce n'est pas très grave, car en marchant bien, je peux être au village le plus proche en deux heures et demi, a peu prés.
Mais finalement, non, je suis parti pour au moins cinq jours, donc pas question de faire demi-tour, et sur ce coup, je suis une vraie tête de con, car je me mets en danger volontairement.
Donc je continue en suivant mon parcours initial, et comme la nuit approche, j'établis mon camps avant qu'il ne fasse sombre.
Je tends donc mon tarp entre trois troncs, monte mon mini camp très sommaire avec des gestes mille fois répétés.
Tout va bien, je n'ai pas faim, j'ai de l'eau, et un petit feu me tient compagnie (attention, il est interdit de faire du feu comme cela en France).
Arrive le petit matin, j'ai bien dormi, et même si j'aimerai bien boire un petit truc chaud, genre thé ou café instantané, tout va bien.
Je reprend donc mon chemin, le paysage est magnifique, on perçoit que l'automne arrive même si je suis au milieu de résineux.
Vers 11h00 la faim me tenaille, c'est une constante chez moi, mais cette sensation disparait vers quinze heures, de plus je suis pleinement content car, j'ai bien progressé.
La fin de journée arrive, donc de nouveau montage d'un mini camp, il doit être environ 18H, 18h30, et franchement là j'ai les crocs.
Je bricole deux ou trois trucs pour occuper mon esprit, plus que par utilité, puis me couche.
Ma nuit est mauvaise, je me réveille souvent, mais je ne sais pas si cela est lié a la faim ou pas.
Le lendemain, je traine un peu a lever le camp, ce qui n'est pas dans mes habitudes, et j'ai vraiment pour la première fois tres faim.
a suivre
Je me mets à la recherche de mon sac de bouffe et ne le trouve pas.
Bon ce n'est pas très grave, car en marchant bien, je peux être au village le plus proche en deux heures et demi, a peu prés.
Mais finalement, non, je suis parti pour au moins cinq jours, donc pas question de faire demi-tour, et sur ce coup, je suis une vraie tête de con, car je me mets en danger volontairement.
Donc je continue en suivant mon parcours initial, et comme la nuit approche, j'établis mon camps avant qu'il ne fasse sombre.
Je tends donc mon tarp entre trois troncs, monte mon mini camp très sommaire avec des gestes mille fois répétés.
Tout va bien, je n'ai pas faim, j'ai de l'eau, et un petit feu me tient compagnie (attention, il est interdit de faire du feu comme cela en France).
Arrive le petit matin, j'ai bien dormi, et même si j'aimerai bien boire un petit truc chaud, genre thé ou café instantané, tout va bien.
Je reprend donc mon chemin, le paysage est magnifique, on perçoit que l'automne arrive même si je suis au milieu de résineux.
Vers 11h00 la faim me tenaille, c'est une constante chez moi, mais cette sensation disparait vers quinze heures, de plus je suis pleinement content car, j'ai bien progressé.
La fin de journée arrive, donc de nouveau montage d'un mini camp, il doit être environ 18H, 18h30, et franchement là j'ai les crocs.
Je bricole deux ou trois trucs pour occuper mon esprit, plus que par utilité, puis me couche.
Ma nuit est mauvaise, je me réveille souvent, mais je ne sais pas si cela est lié a la faim ou pas.
Le lendemain, je traine un peu a lever le camp, ce qui n'est pas dans mes habitudes, et j'ai vraiment pour la première fois tres faim.
a suivre
herveteam- Indispensable
- Messages : 916
Date d'inscription : 07/07/2010
Age : 51
Localisation : roanne
Re: La faim et la soif de vivre.
C'est quoi un tarp ?herveteam a écrit:Je tends donc mon tarp entre trois troncs, monte mon mini camp très sommaire avec des gestes mille fois répétés.
Re: La faim et la soif de vivre.
Je mise sur un drap
maniak- Erudit
- Messages : 1402
Date d'inscription : 15/08/2011
Age : 50
Localisation : phare ouest
Re: La faim et la soif de vivre.
Hummm très intéressant Hervé, j'ai hâte de voir la suite
Merci
Bioch-Stef- Indispensable
- Messages : 524
Date d'inscription : 26/07/2011
Re: La faim et la soif de vivre.
Un tarp, c'est une bache plastique toute simple, qui peut-être multi-usage.Philippe Mind a écrit:C'est quoi un tarp ?herveteam a écrit:Je tends donc mon tarp entre trois troncs, monte mon mini camp très sommaire avec des gestes mille fois répétés.
Elle peut par exemple servir d'isolant entre le sol et vous, ou bien de toit, et même les deux, un peu comme les abris de pêcheur.
En gros c'est un truc qui coute pas chère, qui est isolant et peu encombrant, sur le mien, j'avais mis des oeillets plastique tout le tour afin de multiplier les possibilités.
C'est un accessoire souvent adopté par les pratiquants de MUL.
(c'est quoi MUL? ).
MUL: marche ultra légère, en bref, le moins de matos possible, le moins d'encombrement possible.
herveteam- Indispensable
- Messages : 916
Date d'inscription : 07/07/2010
Age : 51
Localisation : roanne
Re: La faim et la soif de vivre.
Ça ressemble fort au poncho que l'armée m'a fourni pour un prix modique (j'ai jamais trouvé mieux), mais qui est assez lourd pour son volume ce qui ne doit pas te convenir je pense, mais pourquoi un tarp ?
Toit A Rambo Pu...
Est ce que tu envisageais de jeûner jusqu’à ton retour ou de trouver de la nourriture par tes propres moyens ?
maniak- Erudit
- Messages : 1402
Date d'inscription : 15/08/2011
Age : 50
Localisation : phare ouest
Re: La faim et la soif de vivre.
Je poursuis donc mon récit.
En début, d’après-midi, j'ai vraiment très très faim, je fouine autour de ce qui fut mon camp pour la nuit à la recherche de quelque chose de comestible.
Il y a bien quelques champignons, mais je ne les connais pas (ah, si mon père était là), donc je renonce.
Je suis au milieu de résineux, et je connais un instructeur de survie qui s'en fait parfois des décoctions, mais je doute des capacités de cette tisane a me nourrir.
Alors je vais faire quelque chose que j'ai déjà fait pour faire l'idiot dans ma jeunesse, je creuse au pied d'un douglas et récolte quelques beaux vers de terre.
Je me demande alors comment je pouvais mâcher cela vers douze, treize ans pour faire l’intéressant.
Donc plutôt que des les mâcher, je les coupent en petits morceaux avec mon Rat5 (couteau fixe), et avale ces morceaux tout rond.
Finalement, ça passe bien, même si je suis loin d'être repus.
Je décide de descendre en plaine, car je me dit que la nourriture doit y être plus abondante.
Ainsi fait, je passe vers des châtaigniers mais nous en octobre, et il n'y a plus rien a récolter.
Je songe un instant à la chasse, mais je ne sais chasser qu'avec une arme a feu, et pas autrement, à la rigueur, je sais poser des collets, mais cela m'immobiliserai sur place.
Je continue donc mon parcours jusqu'a une petite rivière dont je ne sais plus le nom.
Sur place, je remarque des poissons, que l'on nomme par chez moi des blancs (s'il y a des pêcheurs dans la salle, pour donner le vrai nom de ces poissons).
Je commence donc a faire deux barrages, un en amont et l'autre en aval distant d'environ dix mètres, certains poissons sont pris au piège, puis je resserre le piège avec un nouveau mur de cailloux, plus proche de l'autre.
Cela représente beaucoup de travail, mais j'ai une énergie de fou, je n'ai jamais autant de tonus, et pourtant j'ai le ventre presque vide.
Le résultat de ma pêche me conviens, 3 poissons, sur la vingtaine que j'avais mis en captivité.
Je détruit donc, mes barrages, et commence a vider et écailler mon repas.
Je fais un bon feu, tres supérieur à mon besoin, car je veux recouvrir les braises de pierres et faire dorer les poissons dessus, soit deux petits et un grand blanc (pas le requin, hein).
Les pierres brulantes sur lesquelles les poisons cuisent ont l'avantage de saler légèrement les poissons il me semble.
Je fais donc un bon repas, puis éteins mon feu.
Je suis assis a ranger mon matos dans mon sac, quand un gars débarque de nul part, en gueulant, que je n'ai rien faire ici etc...
Puis, il jette un coup d’œil sur mon couteau fixe, mon air déterminé (ouha, je voulais la placé, celle là), et mon aspect très sale, il se calme un peu et reste a distance.
Je me lève et lui dit que de toute façon je pars, mais qu'il ne devrait pas laisser son arme sans surveillance. Et là, le gars est scotché, semble étonné et fait demi-tour un peu penaud.
En effet, j'avais dans mon parcours pour rejoindre la rivière, vu un point d'eau en contrebas, et c'est là le meilleur endroit pour un braconnier de tirer un chevreuil. J'ai donc simplement dérangé le gars, dans son activité et je sais qu'on ne se ballade pas juste avec une cartouchière et sans arme, et qu'un vrai chasseur aurait eu par conséquent son arme à la main.
Je poursuis donc mon chemin, jusqu’à une petite ville, dont j'aimerai bien retrouvé le nom, un nom du style "Saint truc en vercors".
Je m’arrête dans le seul hôtel du coin, et le patron qui est un gars super sympa, a qui je raconte ma petite histoire, me propose de me débarbouiller.
Je téléphone ensuite à mon meilleur pote qui est environ à cinquante KM de là, et ce dernier, qui est à son compte ferme son atelier et rejoint, afin de partager un bon repas à l’hôtel-auberge.
PS: je recherche le nom du village, car si vous passer par le Vercors, je vous recommande ce petit hôtel, ou le patron est super sympa.
En début, d’après-midi, j'ai vraiment très très faim, je fouine autour de ce qui fut mon camp pour la nuit à la recherche de quelque chose de comestible.
Il y a bien quelques champignons, mais je ne les connais pas (ah, si mon père était là), donc je renonce.
Je suis au milieu de résineux, et je connais un instructeur de survie qui s'en fait parfois des décoctions, mais je doute des capacités de cette tisane a me nourrir.
Alors je vais faire quelque chose que j'ai déjà fait pour faire l'idiot dans ma jeunesse, je creuse au pied d'un douglas et récolte quelques beaux vers de terre.
Je me demande alors comment je pouvais mâcher cela vers douze, treize ans pour faire l’intéressant.
Donc plutôt que des les mâcher, je les coupent en petits morceaux avec mon Rat5 (couteau fixe), et avale ces morceaux tout rond.
Finalement, ça passe bien, même si je suis loin d'être repus.
Je décide de descendre en plaine, car je me dit que la nourriture doit y être plus abondante.
Ainsi fait, je passe vers des châtaigniers mais nous en octobre, et il n'y a plus rien a récolter.
Je songe un instant à la chasse, mais je ne sais chasser qu'avec une arme a feu, et pas autrement, à la rigueur, je sais poser des collets, mais cela m'immobiliserai sur place.
Je continue donc mon parcours jusqu'a une petite rivière dont je ne sais plus le nom.
Sur place, je remarque des poissons, que l'on nomme par chez moi des blancs (s'il y a des pêcheurs dans la salle, pour donner le vrai nom de ces poissons).
Je commence donc a faire deux barrages, un en amont et l'autre en aval distant d'environ dix mètres, certains poissons sont pris au piège, puis je resserre le piège avec un nouveau mur de cailloux, plus proche de l'autre.
Cela représente beaucoup de travail, mais j'ai une énergie de fou, je n'ai jamais autant de tonus, et pourtant j'ai le ventre presque vide.
Le résultat de ma pêche me conviens, 3 poissons, sur la vingtaine que j'avais mis en captivité.
Je détruit donc, mes barrages, et commence a vider et écailler mon repas.
Je fais un bon feu, tres supérieur à mon besoin, car je veux recouvrir les braises de pierres et faire dorer les poissons dessus, soit deux petits et un grand blanc (pas le requin, hein).
Les pierres brulantes sur lesquelles les poisons cuisent ont l'avantage de saler légèrement les poissons il me semble.
Je fais donc un bon repas, puis éteins mon feu.
Je suis assis a ranger mon matos dans mon sac, quand un gars débarque de nul part, en gueulant, que je n'ai rien faire ici etc...
Puis, il jette un coup d’œil sur mon couteau fixe, mon air déterminé (ouha, je voulais la placé, celle là), et mon aspect très sale, il se calme un peu et reste a distance.
Je me lève et lui dit que de toute façon je pars, mais qu'il ne devrait pas laisser son arme sans surveillance. Et là, le gars est scotché, semble étonné et fait demi-tour un peu penaud.
En effet, j'avais dans mon parcours pour rejoindre la rivière, vu un point d'eau en contrebas, et c'est là le meilleur endroit pour un braconnier de tirer un chevreuil. J'ai donc simplement dérangé le gars, dans son activité et je sais qu'on ne se ballade pas juste avec une cartouchière et sans arme, et qu'un vrai chasseur aurait eu par conséquent son arme à la main.
Je poursuis donc mon chemin, jusqu’à une petite ville, dont j'aimerai bien retrouvé le nom, un nom du style "Saint truc en vercors".
Je m’arrête dans le seul hôtel du coin, et le patron qui est un gars super sympa, a qui je raconte ma petite histoire, me propose de me débarbouiller.
Je téléphone ensuite à mon meilleur pote qui est environ à cinquante KM de là, et ce dernier, qui est à son compte ferme son atelier et rejoint, afin de partager un bon repas à l’hôtel-auberge.
PS: je recherche le nom du village, car si vous passer par le Vercors, je vous recommande ce petit hôtel, ou le patron est super sympa.
herveteam- Indispensable
- Messages : 916
Date d'inscription : 07/07/2010
Age : 51
Localisation : roanne
Re: La faim et la soif de vivre.
Oui en fait, c'est souvent une bache plastique pas trop lourde, il est vrai, que l'on a récupéré à droite ou à gauche.maniak a écrit:
Ça ressemble fort au poncho que l'armée m'a fourni pour un prix modique (j'ai jamais trouvé mieux), mais qui est assez lourd pour son volume ce qui ne doit pas te convenir je pense, mais pourquoi un tarp ?
Toit A Rambo Pu...
Est ce que tu envisageais de jeûner jusqu’à ton retour ou de trouver de la nourriture par tes propres moyens ?
On nomme cela un "trap" mais j'avoue que j'ignore pourquoi.
herveteam- Indispensable
- Messages : 916
Date d'inscription : 07/07/2010
Age : 51
Localisation : roanne
Re: La faim et la soif de vivre.
Le nom du village est "La chapelle-en-vercors".
Bon je reviens un peu sur la raison qui m'a poussé à écrire ma petite aventure.
C'est avant tout, suite au post, de Philippe Lheureux sur les gens qui font des transats, gravissent l'Everst, et qui selon lui, ont une tendance a vouloir se suicider.
Alors même si ma petite promenade n'a rien a voir avec les exploits de grands aventuriers, c'est tout sauf un suicide et c'est même le contraire.
Y'en a qui appelle ça la vraie vie, mais enfin moi, je dis ça, hein.
Bon je reviens un peu sur la raison qui m'a poussé à écrire ma petite aventure.
C'est avant tout, suite au post, de Philippe Lheureux sur les gens qui font des transats, gravissent l'Everst, et qui selon lui, ont une tendance a vouloir se suicider.
Alors même si ma petite promenade n'a rien a voir avec les exploits de grands aventuriers, c'est tout sauf un suicide et c'est même le contraire.
Y'en a qui appelle ça la vraie vie, mais enfin moi, je dis ça, hein.
herveteam- Indispensable
- Messages : 916
Date d'inscription : 07/07/2010
Age : 51
Localisation : roanne
Re: La faim et la soif de vivre.
Merci pour ton histoire Hervé.
Je suis d'accord avec toi, c'est souvent en poussant son corps aux limites qu'on se sent vivant finalement. Il n'y a rien de suicidaire à mon sens. Quant au nom du village, je pense qu'il plaira à Mr Lheureux
Je suis d'accord avec toi, c'est souvent en poussant son corps aux limites qu'on se sent vivant finalement. Il n'y a rien de suicidaire à mon sens. Quant au nom du village, je pense qu'il plaira à Mr Lheureux
Ogami Itto- Explorateur
- Messages : 75
Date d'inscription : 26/09/2011
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