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De l’art contemporain millénaire abstrait australien aux premiers aborigènes français

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Message  waterreedshimmer Mar 1 Aoû - 19:45

Bonjour à tous,

point de vue d’une intéressée sans le profil d’ethnologue mais amie d’une ethnologue

A mon avis, l’art contemporain millénaire aborigène abstrait australien à Yuendumu en Australie centrale représente un « rêve », un monde où les qualités d’un objet observé ou souhaité, celles (les qualités) d’un vécu contemporain et celles d’un récit mythologique ont plus d’importance pour la manière dont ils occupent l’espace géographique dans l’histoire que pour la manière dont le temps peut les éroder, d’où ce n’est pas un monde avec l’opposition temps – sentiment mais un monde avec l’opposition espace – action. Le dessin devient un récit qui explique une connaissance sur l’espace qui autrefois servait à désigner exactement l’emplacement des points d’eau et peut-être aussi d’autres histoires (confirmé par mon amie, et par une émission télévisée), mais qui à mon avis ne tient pas compte de la dimension analytique, la raison ne décortique pas, ne cherche pas le pourquoi des choses ni le comment, la raison est beaucoup plus une sensation visuelle qui suit un mouvement, un parcours, une trace.

Mon ethnologue préférée m’a raconté que traditionnellement à la mort de quelqu’un on brûle tout, on ne vient pas « chercher » les objets du défunt, on n’accumule pas, on ne recycle pas, on ne réutilise pas, on ne redistribue pas, comme si ils étaient toujours un peuple nomade et que conserver les objets de ceux qui sont morts, ne ferait qu’alourdir inutilement les « sacs à dos » des autres membres de la famille, de la communauté. Du coup contrairement à notre culture de la consommation européenne, acheter un ordinateur ou une télévision ou un lit est un acte personnel qui ne donne pas lieu à un héritage, qui encombrera le « sac à dos » des descendants. Du coup seule l’idée de l’objet est héritée, seule son abstraction, et la trace qui intéresse le dessin est à la fois son contenu symbolique et son action dans l’espace, sa vraie forme, ses vraies couleurs, le réalisme n’a pas d’intérêt pour ce qui ne durera pas toute une éternité, mais le mode de donation de l’objet dans l’espace, ses canalisations, ses transformations, sa manière de réagir face aux obstacles au sol, son itinéraire céleste, la manière dont l’objet se définit pour une personne qui se baladerait sous le sol, sur la terre, sous les nuages, ou au-dessus des nuages et la manière dont il serait noté de manière symbolique sur un carnet de notes pour dire j’ai vu ça, ça et ça sur mon chemin, devient un motif.

Pour certains dessins que j’ai vu, ce motif est d’après mon archéologue préféré composé de deux à trois motifs répétés qui peuvent être repris pour représenter tout l’univers et ces motifs sont uniquement constitués de points colorés. J’ajouterai personnellement que dans ces petites œuvres d’art, les motifs ne sont pas un langage, ne sont pas un son associé à une image mentale ou acoustique, parce que un même motif peut avoir des référents différents selon la peinture et le peintre, et un même référent peut être imaginé au travers des mêmes types de motifs, par contre il y a quand même une tendance générale, une homogénéité, les E pour l’opossum, un oiseau qui symbolise aussi une fuite, un refus avec éloignement, d’une proposition de mariage qui ne convient pas pour un ou des membres de sa famille, les S pour les rivières, les serpents et la vine de serpent, une plante à l’utilité médicale, rituelle et pratique, et les cercles concentriques pour le mouvement des étoiles ou pour les points d’eau. Mais on peut représenter d’autres histoires aussi. Celles qui relèvent du vécu peuvent raconter une vision aérienne de la domestication des vaches sauvages, des parcelles agronomiques, des canalisations d’eau, donc du mode de vie sédentaire moderne interprété de manière traditionnelle (à la nomade). Mais toutes les peintures revêtent un côté artistique, esthétique non explicable. On peut parler de l’espoir, du passé tout comme de l’avenir, puisque les rivières sont tantôt asséchées, tantôt abondantes, de même pour la pluie et les arbres. Tout ce qui est mythologie locale je ne connais pas, mais il y a aussi – et comme ce sont surtout les femmes qui dessinent – c’est soit un vécu féminin, soit une histoire racontée par les ancêtres des femmes. Il y a aussi l’art pour l’art, pour se faire plaisir et jouer avec les motifs.

En somme le motif c’est l’espace associé à l’action et parfois au symbole mais beaucoup à tout ce qui est contemplation géométrique avec des symétries et en soulignant l’action de la forme sur les autres formes et des autres formes sur les propriétés géographiques de l’espace (ex : les nuages donnent la pluie qui arrose les arbres qui donnent des semences et tout cela en petits motifs abstraits composés uniquement de pointillés, la pluie s’accumule pour donner des cours d’eau sinueux).

D’autres techniques, le dessin et modes de figuration comme les lignes existent aussi, mais je ne saurai pas vous les interpréter (j’ai une tasse avec ce type de motif qui raconte un mythe).  

Et donc avec tout cela, même si je ne sais pas si j’aurai accès à ce type d’information, mais les récits mythologiques français qui se transmettent depuis le temps des premiers aborigènes de la France centrale et qui concernent la topographie (l’ancien pourquoi géologique!), ont sans doute été aussi associés à des dessins faits par des motifs abstraits à petit points si jamais la manière de raconter les histoires géographiques concordait avec celle des australiens aborigènes contemporains, tout dépend du mode de donation de l’espace et ça peut modifier, déformer, actualiser, changer, reprendre notre vision du réalisme raconté, des dessins explicatifs non analytiques abstraits.

Côté ethnologique aussi, même si dans le présent ce sont surtout les femmes les artistes, en des temps reculés, il y avait aussi (aucune idée de ma part de l’organisation sociale, du pourcentage) les hommes et eux peignaient leurs corps de petits points et ils y posaient des fleurs aussi pour réaliser ce type de dessin abstrait, et le sable était également un support pour cet art éphémère autochtone ancestral et millénaire.

Merci à mon amie ethnologue qui m’a écrit dans l’avion un mini-mémoire que j’ai lu avec passion (elle en a écrit 5 personnels personnalisés en 14h!) parce qu’elle a vu tellement de gens en écrire, qu’elle en a écrit vite fait et pas pour elle par plaisir. Mais la plupart des idées ici sont ma ré-interprétation personnelle, ça a aussi été vite fait car j’ai une mémoire écrite, mais je ne peux pas mémoriser l’infini, mais j’ai quand même pu recopier beaucoup pour mémoriser une bonne partie et ré-interpréter tout. C’est elle qui m’a mis dans la bonne direction, après l’avion de l’écriture décolle tout seul quand c’est bien expliqué.

PS aux cryptos: Ils ont aussi une photo d’empreinte de Yéti australien et des mythes sur les géants, l’empreinte les autochtones l’ont encerclé de cailloutis, mais comme tous les touristes, elle a fait la photo avec le pied dedans pour mesurer la taille, et je ne sais pas si un jour je l’aurai pour vous.

(Aucune idée si je pourrais compléter avec le point de vue aborigène français? Je n’ai pas de contacts mais je connais par mail par hasard quelqu’un qui a écrit sûrement à ce sujet et qui vient parallèlement du point central de la France.)

*-*-*

J'ai écris à Shutterfly, bonjour la promesse d'illimité jamais supprimé. En tout cas toutes mes photos sont légales et non choquantes et prises par moi-même. Je vais chercher un autre site web qui ne les efface pas pour les mettre ou alors, mais ça va me manger de l'espace, je les hébergerai moi-même.


Dernière édition par waterreedshimmer le Jeu 10 Aoû - 21:15, édité 3 fois (Raison : orthographe)

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Message  waterreedshimmer Mer 2 Aoû - 14:32

J'aimerais rajouter plusieurs choses:

1) Les photos: Art arborigène abstrait australien

2) Ma terminologie est inspirée des années 2000-2010 en sciences du langage, quand j'ai étudié c'était la fin de la manière de parler à l'ancienne (années 1970) et le début de l'informatique, je ne comprend pas forcément les textes du début du siècle, mais les linguistes informaticiens ne connaissent rien à la terminologie utilisée pour étudier la langue (et puis taper à l'ordinateur). Donc c'est une manière de penser mathématique et saussurienne comme une sorte d'intelligence artificielle sans ordinateur. Les linguistes plus anciens que moi ont une terminologie beaucoup plus du monde du papier, et ceux qui ont fait d'autres études (ethnologie, histoire de l'art, philosophie) ont une terminologie et une façon de penser encore différentes que je ne comprend pas forcément car je n'ai pas les clés. Je comprend par contre assez bien la terminologie de: l'informatique, la psychologie, les sciences de la terre, les sciences cognitives, la préhistoire car j'ai beaucoup " marché " toute seule sur ces terrains surtout au travers des livres de méthode ou en assistant à des conférences. Mais les linguistes n'enseignent pas leurs concepts quand ils font une initiation à la linguistique, c'est comme pour l'informatique il faut se débrouiller pour la trouver dans les livres de grammaire, il faut nager dans une langue vide. J'arrive à décrypter un peu les langues inconnues mais pour les langues mortes c'est plus que du latin qu'il faut savoir et c'est plutôt fait pour les gens du 19ème siècle. Mes idées sont des suggestions d'interprétation, vous pouvez les modifier, mais une fois qu'on a le concept grammatical pour déchiffrer on peut l'appliquer à d'autres langues inconnues si le fonctionnement grammatical est similaire.

3) Il existe aussi des peintures plus modernes, figuratives, dont certaines peuvent se référer à des mythes de pourquoi on a donné tel nom à tel endroit mais sur la carte postale imprimée (tout comme dans certains dessins abstraits racontant les mythes ex: on ne dessine que les constellations pour pouvoir conter leur mythe), le paranormal n'est pas représenté, l'interprétation du mythe vient de la contemplation de l'état final figé de la scène. Par contre l'occupation des formes dans le tableau, les types de tracé, les jeux de lumière, tout ce qui relève des choix artistiques pose l'art figuratif comme le reflet, la traduction, la dé-transformation, de l'art abstrait, comme si on pensait abstrait avant de choisir l'aspect de la peinture réaliste. D'autres types de techniques et de représentations réalistes existent aussi parce que les aborigènes n'étaient sédentaires qu'il y a des milliers d'années, du temps de la forêt dense, du coup ils ont eu du temps pour échanger avec d'autres peuples qui s'inspirent de l'évolution de la peinture en Europe. Mais chez les aborigènes australiens ce qui est évident c'est l'art abstrait et pas l'art figuratif pour exprimer la contemplation ou pour laisser un message précis pour quelqu'un, d'où l'art abstrait dans la plupart des tribus d'Australie et peut-être d'Europe date de la préhistoire, et l'art figuratif du 20ème et 21ème siècle. Ils peuvent jouer à dessiner tantôt comme des enfants, tantôt comme des professionnels pour répondre à une attente commerciale du monde européanisé qui veut rester émerveillé devant quelque chose faisant l'économie des mouvements du pinceau et des formes et collectionnable mais cela reste un échange de culture et de techniques. Et de nos jours l'art mondial est revenu à l'état primitif d'art abstrait, même si nous européens on fait la traduction inverse du figuratif vers l'abstrait.

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Message  waterreedshimmer Jeu 10 Aoû - 22:37

Alors à part le fait que je doive re-planter mes images...

Le monsieur dont j'avais l'e-mail m'a conseillé la Société Mythologique Française mais je n'y vois pas grand chose.

Comme il est très savant, il m'a beaucoup écrit. Alors je vous le cite, je lui ai dit que j'étais en pleine crise identitaire, et même s'il ne se souvient plus de moi il m'a écrit : " l’identité n’est pas, contrairement à ce qui est cru, la nature et l’existence intrinsèques de l’individu mais leur appréhension par le milieu qui l’entoure, par l’ensemble des connexions qui le relie à l’espace virtuel constitué par les identités des autres. A la vitesse à laquelle notre environnement évolue, donc et notre espace change, il est infiniment plus difficile de définir avec précision une identité que d’en sentir la fragilité. ", cela j'ai cité car en effet on fait peser sur les derniers indiens des Amériques et sur les anciens aborigènes d’Australie un poids de la mémoire immense. Peut-être souffrent-ils plus que moi qui suis incapable de me définir tout en sachant exactement qui je suis, parce que contrairement à moi, ils sont trop.

Au sujet des premiers français, il a dit ne rien savoir ni ne rien avoir écrit dessus. Sinon il a précisé comme je l'ai dis plus haut " La richesse du fond culturel des divers peuples du monde est tellement vaste que des rapprochements avec des sociétés parfois lointaines n'ont rien de surprenant, même s'il s'agit d'évolutions parallèles et nullement d'influences plus ou moins réciproques.
En France, nous venons un peu trop tard mais de riches récoltes de traditions ont été faites depuis le 17e siècle, publiées, étudiées etc.  Je vous conseillerai de prendre contact avec la très sérieuse et active Société de Mythologie française qui publie régulièrement une revue sur le sujet depuis plus d’un demi-siècle. Son président est Bernard Sergent, historien et archéologue au CNRS.
"

Après il finit: " Autour des Bondons, les toponymes prélatins sont assez abondants mais ce sont souvent des éléments importants à désignation stable et il n’est pas toujours possible de les classer celtiques ou indo-européens :  quid de Tarn, Bramont, Lozère…  Quant aux histoires « traditionnelles », les ethnologues en  recueillent les derniers témoignages. Il y a un hiatus de transmission. Celles racontées aux enfants sont au mieux extraites des livres, reconstituées, remises au goût du jour  ce qui n’a rien de choquant vu que c’est ce qu’ont fait toutes les générations mais on trouve aussi des créations modernes d’auteurs régionaux bien intentionnés mais pas toujours compétents et surtout le fond répandu systématiquement par l’école de la république avec l’histoire officielle, le petit chaperon rouge dans sa version de Perrault ad usum infantium et le père Noël pour pouvoir faire la fête sans parler de Jésus, en attendant Halloween.

La cryptozoologie est une autre approche de nos racines mais il vaudrait mieux parler d’ethnozoologie que de cryptozoologie car il n’y a pas de vraie cachette pour le loup garou ou le drac.
" Mais c'est vrai, c'est l'ethnologie qui s'occupe des humains, mais moi je fais de la cryptozoologie, plutôt côté décryptage.

Oui, je ne sais pas faire de la recherche de recueil de texte, mais dès que j'aurai du temps et à nouveau un câble multiprise (car le mien, la fausse météorite l'a endommagé), et en espérant avoir plus d'informations que une photo de faux œuf de dragon pris à la va vite dans le Muséum de L* (en Suisse) juste avant qu'ils ne ferment et pendant une exposition qui traitait des poussins et pas des dragons, ils ont eu une exposition sur les dragons il y a peut-être plus de 10ans, à l'époque je n'avais ni appareil photo ni téléphone avec appareil photo intégré, mais je ne parle pas l'allemand, tout pour vous dire, bon les mythes en Europe, en tout cas pour les chasseurs de trésors (eh oui, le dragon qui protège un trésor dans la montagne, ou alors la recherche secrète du premier fossile de dragon européen, car ce n'est pas que un mythe chinois...), et ça sans parler de la seule fois où j'ai rêvé du ciel (une histoire de fantôme) et où j'ai vu une nébuleuse en forme de dragon chinois rouge, je ne sais pas si elle existe, mais c'était un rêve solitaire. Donc si le rêve peut être autre chose qu'une histoire. Mais bon, une photo en disant que c'est un faux, c'est pas hyper-intéressant, sauf qu'ils ont recueilli trop de témoignages (peut-être) du moyen-âge sur ce dragon, qui symbolise une montagne. Et sans doute on doit aussi avoir, en plus de la salamandre, le dragon en France, mais je n'ai pas les clés pour être une historienne, pour trouver des sources, déjà ce site web c'est génial. Et donc il n'y a pas que les dragons, il y a aussi la toponymie qui a une histoire, on se raconte des histoires pour raconter la toponymie, les fleuves dans la plupart des cultures sont des histoires sur des serpents, les buttes aussi ont des histoires - dans la plupart des cultures sur des géants, ce chez tous les peuples. Après nul ne sait si l'art abstrait racontait aussi des histoires en Europe en des époques reculées. Je me souviens juste d'avoir vu sur internet la photo d'une grotte, aucune idée dans quel continent, illustrée de points, tels des vers magiques en une langue pré-historique inconnue. Bon, c'est vrai que je ne sors pas de chez moi, et même sans contacts je suis sûre que la prochaine fois que j'irai pas très loin sans faire de ballades, je tomberai sur une grotte à petit points ou sur quelque chose de merveilleux, car le merveilleux vient instinctivement vers moi. En France il n'y a pas d'interdiction de photographie, il y a juste interdiction de ramener des objets archéologiques chez soi, mais dans les autres pays, on ne peut même pas photographier. Et donc si je trouve quelque chose de merveilleux, ce sera une photo, car là c'est les objets qui viennent à moi. Bon les peintures modernes et achetées c'est pas interdit de les recevoir en cadeau ni de poster des photos d'un mémoire personnel d'une amie pour vous faire rêver. Si j'avais du temps, je re-dessinerai tout si c'est ça le souci. Et puis dans ma vie, deux africains m'ont dit que certains objets imprégnés de ma *magie* que eux ils voient et moi je ne vois pas, peuvent me suivre, un bracelet à moi perdu m'a ainsi une fois suivi ainsi qu'un stylo, mais après il y a aussi les pieds des personnes et le vent, donc ceci n'est que pure interprétation. On a mangé sénégalais cette semaine avec des amies, et le patron du restaurant nous a dit que les peintures abstraites au Sénégal ont aussi une interprétation précise, sont aussi des rêves. Donc le rêve en tout cas de formes géométriques abstraites existe en Afrique. C'est la mode, le tissus qui lui fait perdre son sens de peinture. Et on a visité le Musée de Quai Branly, où mon amie connaissait personnellement la famille de plusieurs peintres, elle m'a aussi appris, que bien que le Musée du Quai Branly montre surtout le Nord de l'Australie qu'elle ne connaît pas beaucoup, puisque son truc c'est le centre, au Nord, et c'est pas écrit au Quai Branly, le nombre de traits dans la peinture (d'un morceau de bois long, alors moi pour les mots...) dit quelle tribu a effectué le dessin, car chaque tribus d’aborigène a un nom qui est gravé, signé, en fonction du nombre de traits utilisés en peinture. Donc intéressant pour mettre en relation la signature numérique qui est longue et occupe tout l'espace horizontal et la signature du fin fond des temps qui occupe l'espace même du dessin et non pas le coin de la taille. Donc il y a plein de choses qu'on ne connaît pas sur nous-mêmes et sur les autres. Bon je ne suis pas ethnologue, mais que un peu linguiste, et très peu géologue, mais j'y rêve encore. Mais je pense que je vais plus faire dans la photographie du rêve qui me suit et dont j'aime parler. J'aurai pu être tombée sur un autre forum avec un autre point de vue, mais bon on m'a vite chassée, alors j'erre dans ma pensée où je peux et je m'adapte pour exister dans l'écriture. Et c'est pour cela que je vous ouvre mon cœur qui est beaucoup plus nomade que mon corps. Et puis j'ai tellement bien écrit que les images, on peut les imaginer, mais elles sont complexes et longues à réaliser, ce n'est pas le point final, c'est le début d'une aventure longue avec des êtres qui veulent à la fois être connus et inconnus et qui m'envoient des signes et des pensées et qui me désignent des objets, des hommes et des illusions d'optique, mais surtout du rêve d'ailleurs et avant tout du rêve tout court.

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Message  waterreedshimmer Ven 11 Aoû - 12:17

Bon j'ai mis les photos dans Yandex Disk 10Go (Personnaliser et contrôler Yandex > paramètres > paramètres de langue et saisie, 3ème puis - 3 en termes de bouton pour passer du russe à l'anglais). Internet et les photos il n'y a rien de moins stable, désolée. Je peux organiser les photos en dehors des albums, mais dans les albums, il n'y a pas le bon ordre. On peut partager l'album ou juste les photos, mais je préfère partager l'album car il y a un titre. Utiliser des copies de photos car elles s'effacent de son disque dur facilement avec le cloud et la synchronisation.
Photos sur l'Art Abstrait Arborigène Australien 2017  study

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Message  bukowski1975 Mer 18 Oct - 18:54

Vrai de vrai !
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